Les biscuits n’ont jamais aidé, le maquillage sur les yeux qui ont pleuré. Derrière la porte, les sapins et le traîneau. Il faut partir toujours plus loin. Elle avale un dernier biscuit et jusqu’à ce que la mort s’en suive, elle dit oui. Oui je le veux. Du mieux que je le peux, c’est-à-dire, n’importe comment. Elle a mis une tuque et noué un foulard. Elle part vers le Nord. Avec une petite hache pour l’abri, pour les troncs qu’elle devra couper. Et toujours sans ignorer
qu’un jour il faudra
retourner sur ses pas.
Cheyenne
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