lundi 11 octobre 2010

Il a pris sa perdrix blonde sur sa monture rouge


Arrivés à la caverne du poumon brisé, avec tous ces mots aux pieds des gens. Ce sont là des mégots dont le secret est aspiré. Déjà. Que faire de ces galets qui ne feront plus de ricochets. C’est un palais en ruine de statues Helvetica. Il n’y a plus de buissons ou de diamants. Ce n’est que du Times New Roman. C’est la mort d’un accordéon et puis le reste aussi, la dent sous l’oreiller, les nouilles instantanées. Trente années ont passé, dans le palais ils entrèrent, dans la salle d’acajou, sur le lit baldaquin. Comic sans Ms sans être coquin. Sa robe était pistache, son cavalier sans moustache.

La nouvelle connaissait son rôle, celui d’un dictionnaire dans une bibliothèque qui ne fane plus, une citation virginale, dans les corridors des rues. Les portraits des ancêtres étaient source d’anxiété et princesse, bois le thé, ne contracte pas d’its, soit femme comme la caresse. C’était écrit en caractère bold.

De toute façon elle ne comprend pas. À la fontaine de tout, à travers les cailloux, un poisson la salua. Il y avait la mousse et le soleil dans les rayons de l’eau. C’était beau. Imprint md shadow.

Et c’est la femme abandonnée qui coud la laine à sa peau, qui me prend par les mots. Elle a froid, c’est ce qu’elle ne dit pas, mais je comprends, on se comprend, dans ce grand hymne du tourment. On a perdu l’or avant l’alchimie, ce que sait la perdrix.

Il faut la grotte qui était là, avant que l’on écrive sur ses parois.

Cheyenne

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